🤕 Mauvaise ventilation = baisse directe de performance
Les effets sont concrets :
· Oxygénation insuffisante → fatigue chronique
· CO2 élevé → baisse de concentration, décisions dégradées
· Faible renouvellement d’air → irritabilité, inconfort, stress
La Harvard T.H. Chan School of Public Health montre qu’un 𝐂𝐎𝟐 𝐭𝐫𝐨𝐩 𝐞́𝐥𝐞𝐯𝐞́ 𝐚𝐟𝐟𝐚𝐢𝐛𝐥𝐢𝐭 les 𝐟𝐨𝐧𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐞𝐱𝐞́𝐜𝐮𝐭𝐢𝐯𝐞𝐬 et peut entraîner une forte baisse des 𝐩𝐞𝐫𝐟𝐨𝐫𝐦𝐚𝐧𝐜𝐞𝐬 𝐜𝐨𝐠𝐧𝐢𝐭𝐢𝐯𝐞𝐬.
Et pourtant… la majorité des bureaux restent sous–ventilés : salles de réunion, open spaces, bâtiments anciens, espaces fermés.
🔬 𝐏𝐨𝐮𝐫𝐪𝐮𝐨𝐢 𝐜’𝐞𝐬𝐭 𝐬𝐢 𝐜𝐫𝐢𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞 ?
Parce qu’en intérieur, 𝟗𝟗 % 𝐝𝐞 𝐜𝐞 𝐪𝐮𝐞 𝐧𝐨𝐮𝐬 𝐫𝐞𝐬𝐩𝐢𝐫𝐨𝐧𝐬 𝐝𝐞́𝐩𝐞𝐧𝐝 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐯𝐞𝐧𝐭𝐢𝐥𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 : CO2 , humidité, polluants, micro-organismes, émissions de matériaux…
Des recherches récentes (Fondation FondaMental, 2025 ; Bhui et al., 2024) montrent qu’une QAI dégradée 𝐚𝐮𝐠𝐦𝐞𝐧𝐭𝐞 𝐬𝐭𝐫𝐞𝐬𝐬, 𝐚𝐧𝐱𝐢𝐞́𝐭𝐞́ 𝐞𝐭 𝐢𝐫𝐫𝐢𝐭𝐚𝐛𝐢𝐥𝐢𝐭𝐞́.
Sans mesures objectives, on ne voit jamais le problème.
💡 𝐂𝐨𝐦𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐚𝐠𝐢𝐫 𝐜𝐨𝐧𝐜𝐫𝐞̀𝐭𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 ?
· Mesurer en continu : CO2, température, hygrométrie
· Vérifier les débits d’air réels (et non les valeurs théoriques)
· Optimiser la configuration : VMC, CTA, ouvertures, renouvellement
· Détecter et alerter en cas de dérive
🛠️ 𝐍𝐨𝐬 𝐨𝐮𝐭𝐢𝐥𝐬 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐝𝐢𝐚𝐠𝐧𝐨𝐬𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞𝐫 — TSI Incorporated
· 𝐃𝐞́𝐛𝐢𝐭𝐬 𝐝’𝐚𝐢𝐫 : Balomètre ACCUBALANCE 8380 et LOW FLOW 6200

· 𝐕𝐢𝐭𝐞𝐬𝐬𝐞 𝐞𝐭 𝐭𝐞𝐦𝐩𝐞́𝐫𝐚𝐭𝐮𝐫𝐞 𝐝’𝐚𝐢𝐫 : Anémomètre VELOCICALC 5725 avec kit de cônes pour les VMC

· 𝐌𝐞𝐬𝐮𝐫𝐞𝐬 𝐜𝐨𝐦𝐩𝐥𝐞̀𝐭𝐞𝐬 : Analyseurs multifonctions VELOCICALC 9565 / 9600

· 𝐏𝐫𝐞𝐬𝐬𝐢𝐨𝐧, 𝐩𝐞𝐫𝐭𝐞 𝐝𝐞 𝐜𝐡𝐚𝐫𝐠𝐞 : Micromanomètres DP CALC

· 𝐌𝐨𝐧𝐢𝐭𝐨𝐫𝐢𝐧𝐠 𝐝𝐞 𝐦𝐞𝐬𝐮𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐯𝐢𝐭𝐞𝐬𝐬𝐞 𝐞𝐭 𝐝𝐞́𝐛𝐢𝐭 𝐝’𝐚𝐢𝐫 : Transmetteurs AVT TSI

𝐐𝐮𝐚𝐧𝐝 𝐥’𝐚𝐢𝐫 𝐜𝐢𝐫𝐜𝐮𝐥𝐞 𝐛𝐢𝐞𝐧, 𝐥𝐞𝐬 𝐢𝐝𝐞́𝐞𝐬 𝐚𝐮𝐬𝐬𝐢 : Moins de fatigue / Plus de calme / Plus d’efficacité.
📌 Prochain épisode : poussières et particules : l’impact invisible.


















